Kerbedanz Maximus, la plus grande cage de Tourbillon du monde

Kerbedanz Maximus, la plus grande cage de Tourbillon du monde

Chef d’œuvre micromécanique horloger, Maximus, le tourbillon de tous les superlatifs est présenté fin mars 2017 à l’ensemble des médias et des acheteurs du monde dans le cadre de Baselworld. Un garde-temps hors-norme, inhabituel.

Avec sa cage de 27 mm, pratiquement le double de la taille la plus imposante connue à ce jour, le tourbillon montre- bracelet le plus grand du monde de KERBEDANZ ne pouvait avoir de meilleur nom que Maximus. En effet, à Rome encore aujourd’hui, le Cirque Maxime – Maximus en latin et en italien – demeure le plus grand vestige de toute l’antiquité Romaine en matière de courses de chars ou de chevaux. Il fut construit entre le Palatin et l’Aventin au début du 6ème siècle avant J.-C. par le roi étrusque Tarquin l’Ancien.

Quintessence complicationnelle et science chronométrique

Cette montre incroyable, transcendant l’une des complications-mère les plus abouties et les plus spectaculaires, marque un tournant pour la marque d’horlogerie d’excellence KERBEDANZ qui, depuis Neuchâtel en Suisse, conquiert de plus en plus de collectionneurs avertis et de MIP – Most Important Personnalities –. Cette terminologie, par opposition au galvaudage entourant le mot VIP, indique discrètement que parmi ses acheteurs figurent ceux qui ont le plus d’influence sur le monde, hommes et femmes d’état, de pouvoir et d’impact. Un tournant important puisque jusqu’ici, en raison de l’extrême luxuriance des décors de ses cadrans, gorgés d’allusions allégoriques, de parcours initiatiques offerts aux repères stylistiques et civilisationnels de l’Histoire, en raison de leur incarnation des savoir-faire pluriels hérités d’une longue tradition joaillière familiale, on aurait presque oublié que KERBEDANZ, au fil de ses pièces uniques ou de ses séries ultra-limitées, incarne également la quintessence des arts complicationnels horlogers traditionnels suisses, qu’elle est capable de conjuguer les réalisations les plus complexes de la science chronométrique.

Inventé par le grand horloger Abraham Louis Breguet (1747-1823), la complication du Tourbillon met en rotation dans une cage tournant sur elle-même l’organe ré- glant de la montre en variant les positions de ce dernier pour compenser les erreurs liées à l’influence de la gravité, au développement non concentrique du spiral et au point d’attache à la virole. En horlogerie, l’agrandissement des volumes de certains composants ne riment jamais avec la simple multiplication de leur taille. Il faut tout réinventer, recalculer. Deux brevets sont d’ailleurs en cours de dépôt.

Symbolique au service d’un calibre de tous les exploits

Non seulement la montre Maximus Tourbillon volant de KERBEDANZ, par la taille XXL de son tourbillon, permet de mieux observer et comprendre les subtilités de ce fasci- nant mécanisme, mais elle démontre aussi l’étendue de ses compétences horlo- gères: conception et fabrication d’un spiral spécifique, d’une raquetterie avec vis de réglage fin et d’un balancier. Ici, la cage effectue une rotation chaque six mi- nutes et non pas en 60 secondes, comme c’est le cas la plupart du temps.

Du côté de l’énergie dont dispose le Calibre KRB-08 Tourbillon volant central géant, à ancre en ligne, avec un diamètre de cage de 27mm, elle est produite par 4 baril- lets montés en parallèle, entraînant une roue centrale montée sur un roulement à billes, fournissant le couple nécessaire pour alimenter un tourbillon d’une telle dimen- sion. La fréquence est de 2,5 Hertz, soit 18'000 alternances par heure. L’exploit est de parvenir tout de même à proposer une réserve de marche de 48 heures, signalée par un indicateur dédié. Au total, 415 composants sont minutieusement assemblés, dont 73 dédiés à la cage du tourbillon qui, entièrement réalisée en titane, ne pèse que 1,35 grammes. Il faut les mains expertes de maîtres horlogers triés pour parvenir à pareille aboutissement.

Donner du sens à la beauté

En 2017, à Baselworld, la beauté conjuguée par KERBEDANZ au travers de la pre- mière mondiale Maximus, n’est pas seulement d’ordre symbolique. Elle a la richesse esthétique d’une harmonie horlogère faite de soins ultimes, de finitions léchées, tels ces anglages polis faits à la main de toute beauté, ces étirages du flanc des pièces, ces rouages cerclés, telles ces vis proposées en rendu poli-miroir.

Quant à l’évocation du nom Maximus, elle remonte le temps et regorge à sa ma- nière également de richesses allégoriques. Elle célèbre autant le Grand Prêtre à la tête du Collège des Pontifes, ces religieux en charge de l’établissement du calen- drier des jours fastes et néfastes au sein de la religion publique romaine, de la consé- cration des édifices, de la nomination des autres prêtres, comme les Flamines et les Vestales, et de la tenue des archives romaines consignant les faits notables dans les «Grandes Annales.» Maximus était aussi le titre décerné systématiquement à tous les empereurs romains durant la période impériale qui suivra le règne d’Auguste.

Maximus dans l’antiquité: mot clef de l’expression de la grandeur, de la splendeur. En 2017, le mot se charge d’une dimension magistrale nouvelle, faite du respect des fondamentaux horlogers marié avec la recherche audacieuse de l’excellence hor- logère. Une réalisation majeure, incontournable.