Kerbedanz: Le Graal horloger de la pièce unique

Kerbedanz: Le Graal horloger de la pièce unique

Posséder un garde-temps conçu, réalisé et fabriqué spécialement pour soi? Abonnée aux séries ultra limitées et aux pièces uniques, la marque de Neuchâtel dispose d’une indiscutable légitimité pour transcender l’impossible.

Dans le monde, beaucoup de MIP sont en perpétuelle recherche pour trouver un objet particulier qui leur soit propre, qui les incarne à la perfection, qui témoigne de leur moi profond tout en préservant leur intimité. Le mot MIP, Most Important Personnalities, est entré dans le langage grâce à la marque indépendante d’horlogerie d’excellence Kerbedanz. Il est une riposte au galvaudage chronique du mot VIP - Very Important People. ll permet de désigner une catégorie de personnages qui, en raison de l’étendue de leurs avoirs ter- restres, de l’enviabilité de leurs positions sociales voire de l’im- mensité occulte de leur in- fluence, accèdent à l’inaccessible statut de leader et de précurseur absolus. 

Concept d’une co-création horlogère jusqu’au-boutiste

Certains amateurs de montres de prestige disposent d’une telle passion que l’acquisition de modèles parmi les plus rares et les plus plébiscités de la planète ne leur suffit plus. A force d’en avoir acquis autant les échantillons les plus chers que les plus introuvables, ils n’ont qu’une dernière exigence, celle de pouvoir accéder à une pièce dont l’unicité est intimement liée à leur vie, à des aspects de leur existence que seuls eux-mêmes et leurs plus proches sont à même de com- prendre. L’expression de tels desiderata à laquelle toute enseigne horlogère connue a une fois ou l’autre été confrontée, débouche fréquemment sur un sentiment d’inachevé de part et d’autre. Du côté de l’acheteur, à la frustration de n’accé- der qu’à la énième déclinaison d’un modèle plébiscité, s’ajoute parfois le risque de voir son garde-temps rejoindre l’offre globale de la marque. Du côté de la marque, le simple fait de coopérer ou de donner suite, pourrait parfois être perçu comme une faiblesse d’ADN ou comme une atteinte à son ego historique.

Pour Kerbedanz, une enseigne indépendante dont l’excellence repose sur le mariage entre la maîtrise des plus anciennes traditions joaillières et les arts horlogers suisses séculaires les plus aboutis, la problématique est inverse. En effet, il se trouve que la substance originelle de son ADN de marque est en- racinée dans cette dimension particulière de dialogue interactif entre le futur acquéreur et le CDO Aram Petrosyan - Chef Designer Officer - qui règne sur une équipe de quatre autres designers. Un dialogue qui passe par plusieurs allers et retours alimentés par des propositions de dessins, de formes, de ma- tériaux, de finitions... 

D’ailleurs, c’est parce qu’elle a d’abord vendu environ une quatre centaine de pièces en trois ans sur ce mode de la commande personnelle que la marque a pignon sur rue à Neuchâtel où elle vient d’emménager face au lac. Peu à peu, les équipes étant rodées à l’exercice, certains modèles issus de ces démarches créatives se sont glissés dans l’offre de la Maison, toujours en pièces uniques voire en séries ultra limitées. Ils deviennent ainsi la face vi- sible et publique de Kerbedanz. A l’image de cette représentative collection baptisée «Ê» qui joue sur les signes zodiacaux. Et qui, à partir d’une date, d’une heure et d’un lieu précis de naissance, engendre l’ultime émotion de disposer d’une pièce unique. 

Un «symboliste» maison, le summum de parcours initiatique 

Nombreuses sont les montres qui racontent des histoires. Unique est celle qui s’inspire de l’histoire de son propriétaire. Kerbedanz est la seule marque d’hor- logerie haut de gamme a alimenter son attractivité par la démarche du parcours initiatique. Chaque création, chaque oeuvre, est un condensé de symboles empruntés aux civilisations pas- sées et actuelles. Elle est saupoudrée au niveau inspiration par des reliefs culturels et cultuels d’époques et de territoires dis- tincts. La marque manie autant les élé- ments connus que ceux qui resteront confidentiels. De l’esthétique réussie, à première vue anodine, découle soudain une luxuriance de symboles, d’allégories, de références plus ou moins directes à des contextes sociaux ou géopolitiques. 

Afin d’être en mesure de canaliser puis de tirer parti cette inépuisable source d’inspiration, Kerbedanz s’est adjoint les services d’un symboliste, Michel Cugnet qui, en connexion avec l’équipe du de- sign, réceptionne les voeux exprimés par les futurs acquéreurs. Il les analyse, les trie puis, en véritable cartographe des sym- boles de toute obédience, de concert avec les designers, il leur offre une vie nouvelle, faite d’interprétations et de décisions. Choisir la couleur, le matériau, le motif, la correspondance animale ou mythologique, sa résonance dans chaque inconscient collectif, chaque universel ou particularisme. Traduire la date clef en référence numérologique, l’anecdote racontée en précepte philosophique, la couleur évoquée en cor- respondance visuelle. 

L’âme d’une suprême personnalisation 

La taille du garde-temps, sa motorisation - jusqu’aux reines des complications horlogères que sont la répétition minute ou le tourbillon - ses procédés de fini- tions, d’embellissements de ses composants, la pureté ou le métissage de ses matériaux et de leurs alliages, tout est conçu, réalisé et fabriqué sur mesure par Kerbedanz, dans des ateliers Maison ou via un réseau trié d’artisans. Du motoriste à l’émailleur, du polisseur, du graveur au peintre miniature ou au maître ès glaçage Kerbedanz - une technique inventée à l’interne - tous concourent à introduire dans la montre commandée, un peu de l’âme de son possesseur. L’aventure dure au minimum trois mois. Un délai non négo- ciable, puisque, déjà un exploit en soi, il garantit une qualité d’exécution dé- nuée de toute compromission.